La métropole de Lyon est désignée capitale française de la biodiversité 2019. Une récompense qui vient souligner les efforts entrepris par la 3ème ville française en matière de gestion des arbres et des eaux pluviales.
La question de la biodiversité est majeure dans le développement des villes durables. Une question qui doit se gérer aux frontières de la ville – avec l’idée de réduire au maximum l’étalement urbain et l’artificialisation des sols ainsi qu’à l’intérieur de celles-ci, puisque la nature en ville augmente la résilience des zones urbaines face aux changements du climat. La métropole de Lyon, désignée “capitale française de la biodiversité 2019” pourrait faire figure d’exemple à suivre en la matière.
La métropole du Grand Lyon regroupe en effet 59 communes, soit plus d’un million d’habitants répartis sur 55 000 hectares. “Le Grand Lyon associe depuis plusieurs années son travail sur le climat à celui sur la place de l’arbre, de l’eau et de la nature sur son territoire“, expliquent l’Agence française pour la biodiversité, Plante & Cité et l’Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France. Une histoire qui démarre en effet au début des années 90 et qui se base sur deux grands piliers : les arbres et les eaux de pluie.