Contrairement à ce qu’évoque le ministre de l’éducation nationale, la grève du 13 janvier n’a pas été une mobilisation «contre un virus» pour le parti EELV mais bien le résultat d’une politique sanitaire hors-sol, insuffisante et impossible à mettre en œuvre par les établissements scolaires. «Face au mépris constant de Jean-Michel Blanquer, la solidarité avec les personnels enseignants de l’éducation nationale s’impose», estime Yannick Jadot.
Depuis le début de la pandémie, le protocole sanitaire est intenable pour le mouvement écologiste. Les équipements de protection face au virus s’avèrent selon lui insuffisants. «Alors que le pays subit la vague du variant Omicron, alors que les écoles sont reconnues comme des hauts lieux de contamination et de circulation du virus, le protocole sanitaire n’a cessé d’être allégé depuis la rentrée du 3 janvier et n’arrête nullement la propagation dans les classes et les établissement scolaires», estime le leader du parti des écologistes.
EÉLV PACA partage le ras-le-bol des enseignants et des familles. Pour cette raison, le parti EÉLV PACA, a été mobilisée le 13 janvier aux côtés du monde enseignant en Provence Alpes Côte d’Azur comme le sera Yannick Jadot, le candidat écologiste à l’élection présidentielle, en France.